Desidela. Effectivement, il existe pour l’ananas de multiples variétés dont très peu ont une réelle valeur gustative. Les autres sont des plantes décoratives et certaines comme l’ananas rouge sont particulièrement appréciées. Il faut donc savoir vraiment ce que l’on veut acheter et dans nos jardineries les vendeurs … vendent.
Florinem. L’apport de sable de rivière n’est pas la bonne solution. Cela transforme le substrat en passoire. C’est efficace de ce point de vue mais ne retient pas l’engrais et il en faut de très grandes quantités pour nourrir cette plante c’est un véritable gâchis. Doc ne cesse de répéter pour le drainage de la coco !
Tropique. Pa de problème j’ai un plant qui doit être divisé à cette époque et ne rêve pas trop pour ta bouture de couronne…
Doc . Quand j’écris qu’il faut savoir nourrir son ananas, l’Urée fait partie de l’indispensable car ce qui compte c’est avant tout la masse d’azote par kilo de feuilles et il faut atteindre une valeur minimum pour espérer une floraison surtout naturelle !
Rocagrume. Partir d’une graine, c’est un peu joué au poker. La culture demande, dans de bonnes conditions, au moins 6 à 12 mois supplémentaire par rapport à une bouture de cayeux de terre. Mais surtout le résultat gustatif est sans garantie. Avec la graine d’ananas du Costa Rica dont les feuilles sont bordées de très nombreuses petites épines acérées j’ai eu beaucoup de chance.